Demande de pardon

Obigui s'avanca au devant de l'Arbre de la sagesse ou siegait le Duc juliano di Juliani. Il etait vetu de son habituel armure, et se deplacait donc avec un peu de lourdeur. Il s'agenouilla devant le duc et commenca a parler:


Ô mon Duc, Ô mon Caesar, pardonne moi mes erreurs. Je fus entrainé par les paroles vengeresse de Shanamir dans les abimes les plus profondes. Je ne vie plus le chemin de la lumiere et de la raison. Aujourd'hui, j'ai retrouvé ce chemin. Pardonne moi, grand Duc parmi les grand, je m'en remet a ton jugement

Il attendit, osant un coup d'oeil a son Duc. Celui-ci arborait son habituel sourire enigmatique, signe de sa neutralité. Il ne pouvait plus qu'esperer.

Le regard impenetrable. Le vieux duc semblait scruter l'ame du Capitaine Obigui. Nul ne pouvais le voir, mais ses pensés etait les suivantes : "mais quel fayot alors"

Il se leva majestueusement, symbole que ca reflexion etait terminée et declara :

Monsieur Obigui. Capitaine des troupes du Berry, dans le feu de l'action, dans l'emotion de la joie, vous n'avez su refrener vos paroles. Une erreure de jeunesse que je ne peux pardonner etant donner que vous etes l'homme qui commande mes armées.

Un silence glacial se fit autour du Chene. le vent lui meme s'arreta de tourbilloner

Néanmoins, je vais vous laisser une chance et ne pas vous degrader. Vous aller retrouver l'autorisation de revenir a Chenonceau. Mais pour cela, vous allez devoir expier votre faute. Vous etes venus avec votre armure. Comme si vous aviez besoin de vous defendre. En consequence de quoi, je vous demanderais donc de vous rendre a pied de Bourges jusqu'a chenonceau affublé de votre armure. A votre arrivé, vous trouverez a nouveaux les portes ouvertes.

Bon courage en marchant vite vous serez rendus a distination d'ici 2 jours.

Ayant parlé, le Duc se rassit

obigui ecouta avec attention son Duc.
*maudite armure* pensa-t-il
Il vit quand meme au fond du regard de son Duc, qu'il l'avait decu. Il esperait se faire pardonner de meilleure maniere que une vulgaire marche a pied.

Soit, vos desirs sont des ordres.

Se tourne vers la foule de courtisans avide d'entendre le Capitaine du Berry se faire deshonorer. Leur sourire narquois sembla laisser place a de la deception.
* tant mieu pour eux, qu'ils aillent travailler*
Il vit Seyia dans la foule. Il alla le trouver avant de partir

Prend bien soin des troupes
Envoi moi un cheval a Chenonceaux aussi s'il te plait pour le retour.

puis il partit vers Chenonceaux, sans nourriture, sans eau. La proximité du Cher lui fournirait le 2nd, le manque de nourriture lui fera reflechir a sa faute

Shanamir entra dans les jardins. Il portait un grand mantel noir.
Il s'arreta devant le Duc et le jeta au sol, il sagenouilla et defit son épée qu'il posa sur ses genoux.
Baissant la tête il prit la parole :

Mon Duc, mon père,
Je ne puis comprendre l'attitude de vos gardes de Chenonceau. Ils prétendent que vous m'auriez interdit l'accée a votre domaine.
Si cela est réelement le cas, pouriez vous m'indiquer ou ai-je fauté ?

Il attendit calmement la réponse du son Duc...

Claquant des doigts, le duc fit signe a un de ses pages personnels de s'approcher de lui et lui demanda de rapporter precisement les propos de Baron de la Verrerie

le page citant shanamir le: Mer 17 Mai à 15:47 a écrit:

Parfais
juste a présiser : A mort Juju !!

Un silence de plomb retomba au sein de l'assemblé. Les paroles etaient plus que fortes surtout dans la bouche du fils de coeur du Duc. Qu'avait bien voulus dire ce jeune sot en criant cela? nul ne le savait vraiment.

Shanamir, qu'as tu a repondre de cela? demanda le Seigneur Di Juliani

Il comprit enfin ce qu'il avait pu commettre. Quel idiot faisait-il pour ne point s'être repentit de ce crime !
Comment expliquer ce qu'il lui était passé par la tête ?
Rien n'y personne ne pouvait pardonner cela !

Comprenant son erreur une larme lui coula le long de la joue...

Mon père, comment me faire pardonner ?

Le Duc ne répondant pas il continua :

Je voulais faire de l'humour et mon intervention fit long feu.
Je ne saurais ce qu'il me passa par la tête, je fêtais la victoire en lançant une simple boutade...

Voyant qu'il ne se faisait pas comprendre il s'écria :

Mon Seigneur, je suis votre plus fervant serviteur, je vous aime comme j'aime mon père. Si vous jugez bon de me faire faire pénitence pour expier mon crime je m'y adonerai a coeur joix, vous prouvant ainsi mon amour...
Pardonnez moi

Il laissa sa tête toucher terre, ne voulant pas que l'on apperçoive ses larmes...